Femmes dans le couple - famille

 

 

 

 

 

 

LA CLE DANS LA SERRURE. RIEN NE SERT DE SOUFFRIR IL FAUT PARTIR A TEMPS

Christine Richard

Ed : Editions Michel Lafon, Lieu d'éd : Paris, Année : 2005

Résumé : « Vous l'aimiez. Plus rien chez lui ne trouve grâce à vos yeux. Il était brillant ? Le voilà désormais implacablement nul. Vous aviez épousé, il y a quelques années, un Brad Pitt ou un John Malkovich ? Vous avez aujourd'hui devant vous le triste sosie d'Homer Simpson.

Quand les vieux tee-shirts et les chaussettes de ski ont remplacé, dans vos tiroir, les nuisette de satin…Quand le quotidien devient supplice, les ronflements, les cheveux dans le lavabo….Quand le mépris a pris le pas sur la tendresse des premières fois…Quand enfin, horreur suprême, le bruit de sa clé dans la serrure vous tétanise de désespoir…

Il faut partir, ou le faire partir. Et vite ! C'est une question de survie. »

 

 

UN LIT A SOI

Evelyne Le Garrec

Coll : Points Actuels, Ed : Editions du Seuil, Lieu d'éd : Paris, Année : 1979

Résumé : « Faut il détruire le couple institutionnalisé ? Supprimer la cohabitation et son symbole : le lit conjugal ? Peut être entrons nous dans l'ère de la séparation entre les sexes, nécessaire pour permettre à chacun, hommes ou femmes de tout âges, de toutes origines sociales, célibataires, veuves, divorcées, mènent une longue conversation sur leur solitude et sur l'itinéraire qui les a amenées de la rupture du couple, souvent douloureuse, à la liberté assumée et revendiquée. »

 

 

 

FORTUNE ET INFORTUNE DE LA FEMME MARIEE

François de Singly

Coll :Economie en liberté ,Ed : Presses Universitaires de France, Lieu d'éd : Paris, Année : 1987

Résumé :«  Ce livre traite du prix social et culturel de la vie conjugale pour les femmes. La gestion des richesses scolaires de la femme à une activité professionnelle, les attentes de sa famille ou de son employeur la conduisent à investir moins que son mari ou son compagnon dans sa carrière.

Elle subit une dévaluation de sa fortune, qui est masquée par l'existence d'un pot commun des ressources monétaires et sociale de son ménage. Après coup, au moment de la désunion ou du veuvage, la femme paye ou perçoit le prix de son engagement conjugal . »

 

 

LA FEMME, LA FAMILLE ET LEURS CONFLITS

Antigone Mouchtouris

Ed : L'Harmattan, Lieu d'éd : Paris, Année : 1998

Résumé : « Sans doute, seule la parole des femmes qui aspirent à construire une famille permet-elle de comprendre les mutations actuellement à l'œuvre au sein de l'institution familiale.

C'est dans son inspiration à l'indépendance économique et socio - politique que l'on peut trouver la racine du conflit entre la femme et la famille.

La gestion de ce conflit, temporairement confiée à une tierce personne, apparaît comme une nécessité sociale, en attendant que les deux partenaires se reconnaissent mutuellement dans leurs nouveaux rôles.

 

 

LES ENFANTS DE JOCASTE. L'EMPREINTE DE LA MERE

Christiane Olivier

Coll : Femmes, Ed :Denoël / Gonthier éditions, Lieu d'éd : Paris, Année : 1980

Résumé : Voici «l'autre psychanalyse», la part féminine, celle que Freud n'a pas pu écrire. En face d'Œdipe, il y a Jocaste, sa mère, qui règne sur son fils en l'absence de Laïos, le père tué. Et Jocaste règne toujours, non seulement sur son fils, mais sur sa fille, en l'absence du père qui abandonne avec joie les soins et l'éducation du jeune enfant à sa femme. Soins et éducation qui sont ainsi monosexués alors que les enfants sont de deux sexes. Pour Christiane Olivier, femme et psychanalyse, c'est l'ombre de la mère, ressentie si différemment par le petit garçon et la petite fille, qui explique et nourrit l'antagonisme séculaire entre l'homme et la femme. Dans un style clair et accessible à tous, elle dresse le procès non pas de la maternité, mais du maternage, procès qui peut aussi se lire comme un mode d'emploi de la vie du couple. Elle démontre, avec humour, que la fameuse «envie du pénis» dont souffriraient les femmes pourrait bien n'être que la projection d'une «envie du sein» ou «envie de l'utérus» dont souffriraient les hommes, et que nos hommes politiques ayant parfois résolu leur Œdipe n'ont presque jamais résolu «leur Jocaste».